Fernando Alonso prend la défense de Lewis Hamilton à Montréal

16:00, 13 juin
Mis à jour: 17:46, 13 juin
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Fernando Alonso, malgré l'anticipation d'une lutte plus difficile pour les victoires et les titres au sommet, a lancé une bouée de sauvetage à son fervent rival et septuple champion du monde Lewis Hamilton qui traverse actuellement ce qui est peut-être la phase la plus difficile de sa carrière en F1.
Alors qu'il semblait que McLaren aurait du mal cette année, la course pour l'équipe basée à Woking a été plutôt détendue, a déclaré Alonso à AS.
"Je m'attendais à une lutte très serrée, et il est vrai que le milieu de peloton est très compact, mais la lutte pour la première place n'est pas si dure. McLaren est légèrement en tête pour le moment."
"Bien que le championnat soit long, nous avons vu lors des deux dernières saisons qu'il n'est pas garanti qu'une équipe dominera la seconde moitié de l'année également. La première moitié a été celle de McLaren, mais nous verrons dans la seconde. Bien qu'ils soient la référence pour tout le monde,” a ajouté l'espagnol.

Hamilton 'véritable grand pilote, mais ne peut pas gérer les voitures difficiles'

Le déménagement très médiatisé de Hamilton vers Ferrari, qui a fait l'objet de sérieuses et nombreuses interrogations, a également rencontré son lot de problèmes en termes de performance sur piste. Y a-t-il quelque chose de 'mauvais' chez le champion du monde britannique ?
“Qu'est-ce qui ne va pas chez lui ? Je n'en ai aucune idée. Lewis est un véritable grand pilote ; sur des circuits comme le Canada, il est capable d'exploiter toutes ses forces. Après 24 courses, nous ferons les comptes ; il a du mal maintenant, mais il peut renverser la situation très rapidement.”
L'espagnol a ensuite fait la comparaison à la saison dernière, lorsqu'il a rencontré des difficultés chez Mercedes aux côtés de son ancien coéquipier George Russell. “Je ne pense pas que la situation ait beaucoup changé par rapport à l'année dernière avec Russell."
"À l'époque, la Mercedes était apparemment difficile à conduire et Russell était plus à l'aise. Cette année, la situation semble être la même. Mais il est difficile de donner un avis sans avoir toutes les informations,” a conclu Alonso.