L'commentateur de Sky Sports, Martin Brundle, a analysé l'incident controversé de la voiture de sécurité qui a conduit les commissaires à infliger à Oscar Piastri une pénalité de dix secondes, lui coûtant la victoire à Silverstone.
Parmi les pilotes ayant le plus de raison d'être déçus après le Grand Prix de Grande-Bretagne figure sans doute
Oscar PiastrLa référence est clairement à l'incident qui s'est produit sous la voiture de sécurité, lorsque le pilote australien a soudainement freiné devant Max Verstappen, méritant une pénalité de dix secondes qui s'est avérée coûteuse.
Après avoir purgé la pénalité, c'était le héros local Lando Norris qui a finalement bénéficié, saisissant l'opportunité de revendiquer sa première victoire jamais sur ses terres natales en Angleterre.
Brundle pèse sur la pénalité de Piastri
Le pilote australien a exprimé sa frustration face à la décision des commissaires, d'autant plus qu'un incident similaire impliquant George Russell au Canada n'a pas été sanctionné.
Analysant l'incident entre Piastri et Verstappen dans sa colonne pour Sky Sports, Martin Brundle a commenté : ''Malheureusement pour lui, il était dans une phase de réchauffement des freins, mais même ainsi, il a perdu 100 mph à ce moment-là et il a enfreint la règle 55.15 du Règlement Sportif concernant le freinage erratique ou les manœu
''Cependant, c'est une règle très importante car l'effet accordéon, surtout par mauvaise visibilité, peut causer des incidents significatifs dans un effet domino à travers le reste de la file derrière la voiture de sécurité. Comme cela a failli être le cas.
Le Britannique a également ajouté : ''Dix secondes serait la sanction standard à moins qu'il n'y ait des circonstances atténuantes pour la réduire à cinq secondes. Mais les commissaires ont décidé de ne pas le faire étant donné l'ampleur de la pression sur les freins et la réduction de vitesse dans les données de la voiture.''
''Lando l'aurait emporté sur Oscar de 6.8 secondes et donc la pénalité était décisive, bien que nous ne saurons jamais quelle vitesse chacun d'eux avait en réserve si nécessaire.''