Le bon pari de Russell : Pour moi, c'était vraiment les pneus slicks

George Russell a terminé en P8 la course Sprint à Spielberg, après avoir dû partir de la 15e place sur la grille de départ en raison d'une défaillance hydraulique lors de la session Shootout plus tôt dans la journée. Russell a trouvé le moment exact pour passer au stand pour les pneus souples lorsque la piste était suffisamment sèche, et son risque était suffisamment bon pour terminer dans les points.

"Certainement la combinaison (du mur des stands et de Russell décidant de la stratégie), pour moi, c'était définitivement les slicks et j'ai dit le tour précédent, si c'était les qualifications, je serais en train de piquer maintenant", a déclaré Russell à Sky Sports après la course Sprint.

"La chose que vous ne savez pas en tant que pilote, c'est qu'à 13 tours de la fin, vous allez pouvoir récupérer toutes les positions. J'étais plutôt content de prendre ma décision, et c'est toujours un défi, quand vous êtes dans le sillage des voitures, il y a toujours beaucoup d'embruns, même quand la piste est à moitié sèche", a poursuivi le pilote Mercedes.

Est-ce que c'est juste de la sueur ?

George Russell n'a pas pu échapper à une blague sur sa célèbre citation lors du Grand Prix d'Espagne plus tôt cette année, alors qu'il décrivait les conditions. "Alors vous essayez de juger, est-ce que c'est sec, est-ce que c'est le spray qui vient d'une humidité correcte sur la piste, ou de l'humidité, (...) ou est-ce que c'est juste de la sueur, oui, voilà", a dit le Britannique en plaisantant après le retour en arrière de Naomi Schiff sur cet incident à Barcelone.