Lando Norris, malgré sa troisième place au Grand Prix de Bahreïn, a exprimé sa déception. Le pilote McLaren a révélé qu'il ne se sentait pas à l'aise ni confiant dans sa voiture, comparant sa situation à l'année dernière, où il avait une meilleure connexion. Il lutte pour trouver l'équilibre et s'interroge sur ses performances actuelles. Bien que
Lando Norris ait terminé troisième au Grand Prix de
Bahreïn, il n'a pas caché sa déception. Le pilote
McLaren, interrogé sur ses difficultés, a expliqué qu'il se sentait déconnecté de sa voiture et qu'il ne parvenait pas à retrouver la confiance de la saison dernière.
Une déception malgré le podium
Lors de la conférence de presse post-course, Norris a admis qu'il ne comprenait pas les raisons de ses difficultés. "Je souhaite savoir", a-t-il déclaré, précisant qu'il ne se sentait pas à l'aise dans la voiture et qu'il n'arrivait pas à se synchroniser avec elle. Bien qu'il n'ait aucun doute sur ses compétences, il a reconnu qu'il était loin de ses capacités optimales.
Des doutes sur sa connexion avec la voiture
Le pilote britannique a expliqué qu'il avait du mal à trouver le bon rythme avec la voiture, contrairement à la saison précédente. "Je me sentais au-dessus de la voiture l'année dernière", a-t-il souligné. Cette année, il éprouve de la difficulté à se sentir en confiance, même sur des circuits qu'il connaît bien. Il a comparé son état actuel à celui de l'an dernier où il se sentait plus connecté et plus confiant.
La quête de la synchronisation
Norris a mentionné qu'il avait passé beaucoup de temps à analyser ses performances pour comprendre ce qui avait changé par rapport à l'année dernière. "Est-ce moi ? Est-ce la voiture ?" a-t-il questionné. Malgré ses incertitudes, il reste confiant en ses capacités, mais il reconnaît qu'il manque cette synchronisation cruciale entre lui et la voiture.
Confiance et performance
Enfin, Norris a admis qu'il était difficile de performer au plus haut niveau sans cette connexion. "Quand vous n'êtes pas confiant dans la voiture, vous ne pouvez pas connaître vos limites", a-t-il expliqué, soulignant que cela l'empêchait d'être aussi rapide qu'il en a besoin, surtout face aux meilleurs pilotes du monde.