Pérez ne voit pas de solution pour les tear-off

Il semble que ce soit un problème de plus en plus courant : les déchirures des casques des pilotes qui se coincent dans la voiture de l'adversaire. Sergio Pérez en a également souffert en Australie. Cela a grandement affecté sa vitesse pendant la course

Une pénalité de temps a contraint Sergio Pérez à prendre le départ du Grand Prix d'Australie depuis la sixième place. Au volant de la voiture la plus rapide du plateau, il était surprenant que le Mexicain ne parvienne pas à gagner des places pendant la course. Après coup, il s'est avéré que cela était dû à un tear-off qui s'est coincé dans sa voiture.

Que faire avec les pièces détachées ?

Ce tea-roff a clairement affecté son rythme, a expliqué Perez au Japon. "Il est évident que cela a affecté pas mal le rythme. Ça a eu un gros impact sur notre résultat, probablement. Étant donné où j'ai commencé, avec la pénalité, P6, et juste l'écart que j'avais avec les leaders, la stratégie, et le grainage que j'ai eu sur le premier relais, probablement, je n'aurais pas gagné la course même sans les dommages."

Plusieurs tentatives ont été faites par le passé pour résoudre ce problème d'arrachement. Pérez lui-même constate que c'est un problème, mais n'en connaît pas la solution. "Je veux dire que sur trois courses, j'en ai eu deux. Donc je ne sais pas. Il y a quelque chose avec ces voitures qui devient beaucoup plus sensible à cet égard. Difficile de, vous savez, nous avons essayé dans le passé de les mettre dans la voiture. Et c'est vraiment très difficile."