Le pilote de Formule 2 Richard Verschoor a formulé un cas intéressant lorsqu'on lui a demandé lors du Ziggo Sport Race Café ce qu'il pensait du licenciement de Christian Horner en tant que principal de l'équipe Red Bull Racing.
Âgé de 51 ans, il a été à la tête de l'équipe autrichienne pendant 20 ans, supervisant huit championnats de pilotes et six championnats de constructeurs après être devenu le patron de l'équipe en 2005, lorsque Red Bull a pris la relève du Jaguar en partance.
Cependant, après deux saisons tumultueuses en 2024 et 2025, luttant pour concourir en tête de grille après une saison record en 2023,
un choc sismique survient lorsqu'il est licencié après le Grand Prix britannique, entraînant l'arrivée de Laurent Mekies, le patron de l'équipe Racing Bulls, pour remplacer le Britannique partant.
Christian Horner quitte Red Bull alors qu'ils sont en quatrième place du championnat des constructeurs, avec Laurent Mekies qui prend la relève après avoir remplacé le Britannique.
Verschoor trouve le licenciement 'particulier'
Le leader actuel du championnat de Formule 2 a gardé ses opinions plutôt neutres lorsqu'on lui a d'abord demandé son avis sur le licenciement du Britannique :‘’C’est peut-être mieux parfois de ne pas commenter sur tout. Je sais aussi très peu de choses à ce propos.
"Je trouve cela un choix particulier, si abrupt en fait. On pourrait penser que quelque chose d'inacceptable s'est produit en coulisses, c'est ainsi que je le vois, mais je ne sais vraiment rien du tout à ce sujet.’’
Verschoor considérait cela comme une perte significative pour l'équipe. Même si cela semblait être à l'horizon, la nouvelle est quand même arrivée comme un choc : ‘’C’est dommage, il a dirigé l'équipe pendant longtemps. Réalisé de grandes choses avec l'équipe. Je trouve cela plutôt bizarre qu'il ait été évincé en milieu de saison.’
"Les performances décevantes de Red Bull cette année n'étaient pas, selon Verschoor, la seule raison du licenciement. ‘’Il ne semble pas que les performances de cette année justifiaient un licenciement si abrupt, mais bon.’’